ZoomNous devons à présent sceller la porte ou la fenêtre. Pour cela, on utilise des pattes de scellement qui rentrent dans des trous dans le mur. Il est bon de larder de clous la partie du dormant qui rentre dans le mur, cela évite les fissures et les retraits. Note : souvenez-vous que, si l'ouverture est destinée à une porte, il est souhaitable de donner un peu de « fruit » (faux aplomb) au dormant afin que, lorsque l'on ouvre cette porte, elle ait tendance à se dégager du sol.
Pour des appuis de fenêtre, prenez la précaution de ne pas faire arriver la maçonnerie au ras du jet d'eau, mais de laisser un vide qui évitera le pourrissement du bois. Vous pouvez maintenant passer à la fabrication de la porte ou de la fenêtre ! Sur ces thèmes, vous pouvez entre autres vous référer à l'article « Une porte d'entrée » , ou à l'index des anciens numéros du Bouvet, où vous trouverez plusieurs articles et modèles.
Parlons des mots !
- Jambages : Piliers verticaux, généralement en pierre ou en maçonnerie, encadrant une ouverture. Ils soutiennent le linteau.
- Linteau : élément de construction horizontal, en bois, en fer, en pierre dure ou en béton armé, reposant sur les jambages d'une ouverture.
- Cloison : Mur de faible épaisseur, formant les divisions intérieures d'un bâtiment.