Les types de rénovation à envisager
Lors de vos visites d’appartements anciens, il est primordial de vous demander quels travaux seront nécessaires pour habiter cet appartement.
Le premier type de travaux à envisager seront les travaux de remise aux normes. Nombre de vieux appartements Parisiens ne sont pas aux normes vis-à-vis notamment de l’électricité et de la plomberie. Afin d’y vivre en toute sécurité, ces rénovations devront être vos priorités. Si vous ne vous y connaissez pas, n’hésitez pas à demander à un proche de vous accompagner. Les agents immobiliers ou propriétaires sont également tenus de vous informer de l’état dans lesquels se trouvent les circuits.
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Dans un second temps, de gros travaux seront sans doute nécessaires pour la rénovation de votre appartement si celui-ci est “dans son jus”. Casser une cloison pour agrandir une pièce ou au contraire en créer une pour gagner une chambre sont des besoins fréquents. Exit les vieilles cuisines et salles de bain, vous voudrez sans doute en changer pour des équipements plus modernes. Ces gros travaux sont ceux qui vous permettront le mieux de vous projeter dans la rénovation d’un appartement.
Enfin, il vous faudra songer aux travaux qui concernent avant tout vos propres goûts. Carreler une salle de bain, mettre du parquet dans un salon qui possède une moquette... Il ne faudra pas sous-estimer le prix de ces travaux, en particulier si vous souhaitez les faire faire par des professionnels. Ils sont cependant nécessaire pour gagner en bien-être dans votre logement.
Les aides d’état
Heureusement, des aides d’Etat existent pour vous aider dans la rénovation d'appartement. C’est notamment le cas du CITE : le Crédit d’Impôt pour la Transition Energétique. En d’autres termes, il s’agit d’un crédit d’impôt de 30% sur les rénovations telles que la chaudière ou les équipements de chauffages écologiques, l’installation d’une pompe à chaleur mais aussi sur tous les travaux d’isolation thermique et tout achat d’appareil fonctionnant aux énergies renouvelables.
Attention cependant, seuls l’achat des équipements est concerné par ce crédit d’impôt, la main d’oeuvre n’est, elle, concernée que dans quelques exceptions très spécifiques. Un plafond de 16000€ est imposé, auxquels s’ajoutent 4000€ par personne à charge supplémentaire.